reconnaître les péchés dominaTEURs
C'est seulement après avoir fait l'expérience de la nouvelle naissance et lorsque vous obéissez continuellement à l'Ecriture que vous pourrez reconnaître un péché dominateur et le vaincre d'une manière qui honore le Seigneur et lui est agréable (d'après Romains 6.6-7, 11, 16-18; 8.8; 1 Corinthiens 2.14; 6.9-12, 19-20; 1 Thessaloniciens 4.1-8; Hébreux 5.14; 13.20-21; Jacques 1.21-25; 1 Pierre 2.2-3, 12; 2 Pierre 1.2-11).
I. Les caractéristiques d'un péché dominateur
A. Vous pratiquez ce péché malgré vos efforts répétés pour l'abandonner (vous ne tenez pas compte de Romains 6.1-2, 6-7, 11-13; 1 Corinthiens 6.12, 19-20; Galates 5.16-17).
B. Vous pratiquez ce péché et attribuez la responsabilité de votre incapacité de l'abandonner aux autres, ou aux circonstances (vous ne tenez pas compte d'Ezéchiel 18.4, 20; Marc 7.20-23; Romains 14.12; 2 Corinthiens 5.10).
C. Vous refusez d'admettre que ce que vous faites est péché (vous ne tenez pas compte de 1 Pierre 1.16; 1 Jean 1.8).
D. Vous arrivez à vous convaincre que vous n'êtes pas esclave de ce péché, et que vous pouvez vous arrêter à tout moment, tout en continuant à le pratiquer (vous ne tenez pas compte de Jean 8.34; Romains 6.1-2; 2 Timothée 2.22; Jacques 2.10; 4.17; 1 Jean 3.3).
E. Vous arrivez à vous convaincre que ce péché n'a pas d'autorité sur vous puisque vous ne le commettez plus aussi souvent qu'avant (vous ne tenez pas compte de Jean 14.15; Romains 6.12 16; 1 Corinthiens 6.12; 1 Thessaloniciens 4.7; 5.22; 2 Timothée 2.22).
F. Vous persévérez dans ce péché même s'il ne vous procure qu'un plaisir passager ou une satisfaction de courte durée, tandis que ses effets néfastes pour vous et les autres sont considérables et durables (vous ne tenez pas compte de Romains 6.16, 21; 14.7-8, 19; 15.2; 1 Corinthiens 6.19-20; 2 Corinthiens 5.15; Galates 5.16-17; Jacques 1.14-15; 1 Pierre 4.3-6).
G. Vous cherchez à dissimuler votre péché (vous ne tenez pas compte de Psaume 32.1-5; Jean 3.19 21; Ephésiens 5.8-17; Jacques 5.16) d'une des manières suivantes :
1. Vous avez des cercles d'amis ou de connaissances séparés (c'est-à-dire, vous menez une vie double) et vous prenez soin que les uns ne connaissent pas les autres (vous ne tenez pas compte de Matthieu 5.13-16; Romains 12.9; 1 Corinthiens 15.33; 2 Corinthiens 6.14-18; Ephésiens 5.11) ;
2. Vous mentez régulièrement pour couvrir votre péché (vous ne tenez pas compte de Proverbes 6.16-19; 12.22; 28.13; Colossiens 3.9-10) ;
3. Vous essayez de faire croire aux autres que vous vivez selon la voie de Dieu (vous ne tenez pas compte de Proverbes 6.12-15; Marc 7.20-23, en particulier le verset 22; 2 Timothée 3.13; Jacques 3.17; 1 Pierre 2.1-3) ;
4. Vous feignez l'indignation ou la surprise lorsque quelqu'un découvre dans votre vie des inconséquences qui lui feraient soupçonner votre problème (vous ne tenez pas compte de Proverbes 14.8; 27.6a; 29.9; Jacques 1.22-24) ;
5. Vous vous querellez et cherchez à créer des factions parmi les croyants en encourageant les uns à prendre parti pour vous contre les autres, ceci dans le Corps de Christ (vous ne tenez pas compte de Romains 16.17-18; Ephésiens 4.1-3; Hébreux 12.14).
H. Vous injuriez ou calominiez ceux qui cherchent à vous réconcilier avec le Seigneur et avec les autres (vous ne tenez pas compte de Psaume 15.1-3; Proverbes 10.16-17; 16.28; Matthieu 15.19; Marc 7.20-23, en particulier le verset 22; Ephésiens 4.31-32; Jacques 5.9; 1 Pierre 2.1-3).
I. Vous persévérez dans ce péché, sachant qu'il ne vous édifie pas (vous ne tenez pas compte de Romains 15.2; 1 Corinthiens 6.12; 10.23-24).
J. Vous commettez encore ce péché, sachant qu'il assombrit le témoignage de Jésus-Christ dans votre vie et qu'il représente une pierre d'achoppement pour les autres (vous ne tenez pas compte de Matthieu 5.16; Romains 14.13; 1 Pierre 2.11-12, 24; 3.15-16).
K. Vous persévérez dans ce péché tout en sachant que la Parole de Dieu vous dit d'arrêter de pécher et que les ressources de Dieu sont suffisantes pour vous délivrer de cet esclavage (vous ne tenez pas compte de Romains 6.5-7, 12-14, 22; 1 Corinthiens 10.13; Galates 5.16-17; 2 Timothée 3.16-17; Jacques 4.17; 1 Jean 4.4).
L. Vous commettez ce péché régulièrement tout en sachant que cela n'est pas agréable au Seigneur et ne glorifie pas Dieu (vous ne tenez pas compte de 1 Corinthiens 6.20; 10.31; 2 Corinthiens 5.9; Colossiens 1.10; 1 Pierre 2.11-12).
M. Vous persévérez dans ce péché même lorsque vous comprenez que vos actes (pensées, paroles et actions) ne sont pas conformes au caractère de Jésus-Christ (vous ne tenez pas compte de 2 Corinthiens 10.5; Galates 2.20; 5.22-24; Colossiens 3.1-11; 1 Pierre 1.14-16; 1 Jean 3.2 3).
II. Comment l'homme voit les péchés dominateurs
A. La philosophie de ce monde enseigne souvent qu'un « comportement indésirable » (ce que la Bible appelle péché) est le résultat d'une « maladie » ou d'une « prédisposition » avec laquelle vous devez apprendre à vivre (qu'il faut apprendre à « gérer »). Pour vous aider à la gérer on conseillera souvent la prise de médicaments, la psychanalyse, ou même à accepter de « vivre votre différence ». Ainsi nous constatons que la sagesse naturelle de l'homme essaie de traiter les problèmes de la vie par une redéfinition du péché ou en encourageant l'acceptation du péché. Par conséquent, la Parole de Dieu est rejetée en tant que source d'autorité pour la totalité de la vie, ce qui mène bien des personnes à se plonger encore plus profondément dans le chagrin, la misère et la désillusion.
B. Le monde reconnaît que certains problèmes dominateurs sont préjudiciables à la vie (par exemple, les actes criminels, la paresse, les « phobies », l'habitude de tout remettre à demain) et encourage à les traiter. Mais les plans pour surmonter ces problèmes se fondent sur la sagesse naturelle et ne tiennent pas compte de la puissance de Dieu ni des directives de sa Parole. De telles « solutions » exaltent l'homme et ne vous apprennent pas à plaire en toutes choses à Dieu.
III. Certaines explications erronées des péchés dominateurs
A. Certaines personnes seraient génétiquement « prédisposées » à manifester certaines « préférences », sans pouvoir s'en empêcher, et ne seraient donc pas responsables de leur conduite (cet argument est souvent utilisé pour expliquer l'homosexualité).
B. Les problèmes qui dominent certaines personnes seraient en fait des « maladies » et devraient être traitées en tant que telles (cet argument est souvent utilisé pour expliquer la dépression, les craintes ou « phobies », la dépendance de l'alcool ou la toxicomanie, les « troubles de la personnalité »).
C. En fonction de son « type de tempérament », une personne aurait tendance à agir de certaines manières ; cela relève simplement de son caractère unique (cet argument est souvent utlisé pour expliquer la colère violente, la dépression, l'inquiétude, la crainte, « les sautes d'humeur »).
D. L'esclavage d'un problème serait simplement l'expression d'un manque « d'estime de soi » (cet argument est souvent utilisé pour expliquer l'anorexie, la boulimie, la dépression, l'adultère, la violence collective, le vol, le meurtre, la fornication par le biais de la pornographie, la prostitution ou la perversion sexuelle).
E. Une personne serait esclave d'un problème à cause des mauvais traitements reçus dans l'enfance ; si elle a été traitée de telle manière par ses parents ou par d'autres adultes ayant autorité sur elle, alors à son tour elle traitera les autres de la même façon (cet argument est souvent utilisé pour expliquer la violence physique et verbale, le mensonge, le vol, les sévices aux enfants, le vandalisme).
F. L'esclavage d'un problème serait dû à la réaction de la personne ou à sa façon de chercher à se venger suite aux mauvais traitements qu'elle a subis dans le passé (cet argument est souvent utlisé pour expliquer les meurtres, le viol, l'adultère, les sévices sexuels aux enfants, le retour à un comportement enfantin, ou le refus des responsabilités de la vie, tel que la « catatonie », le fait de rester au lit, ou de ne pas commencer certaines tâches).
IV. Les efforts humains pour traiter les problèmes dont une personne est esclave
A. Le « malade» est admis dans un centre spécialisé où l'on soigne sa « maladie ». (Les soins impliqueront souvent une psychothérapie intensive, un antagonisme ouvert à la Parole de Dieu, des méthodes de communication non conformes à la Bible, et de nombreuses approches non bibliques aux problèmes mettant en valeur la sagesse de l'homme par rapport à celle de Dieu.)
Remarque : Certains établissements spécialisés dans le traitement d'une « maladie » spécifique peuvent aider une personne à ne plus céder à ce péché particulier (l'abus de l'alcool ou la toxicomanie, par exemple). Mais l'exercice de la maîtrise de soi dans un domaine de la vie ne touche pas au problème de l'état du coeur de la personne devant Dieu, et ne peut ainsi aider personne à vivre en toutes choses d'une manière agréable à Dieu. (Revoyez les Leçons 1 et 2.)
B. Certains programmes d'aide utilisent des principes « spirituels » tirés de la Parole de Dieu pour aider les personnes à ne plus vivre dans l'esclavage d'un problème dominateur, mais sans admettre ouvertement que la Bible est la source de ces principes, de crainte d'offenser quelqu'un.
Remarque : Certains programmes de soins et de réhabilitation suivent (souvent sans le savoir) les principes qui se trouvent dans la Parole de Dieu dans le but d'aider les personnes à se libérer de l'esclavage d'un problème ou d'une habitude (d'un péché) qui domine leur vie. Ces programmes utilisent des termes tirés de la Bible tels que « être sans ressources », « pardonner aux autres », « confesser ses torts », « restitution », « réparation » et « communion ». Pourtant ces « programmes spirituels » ne reconnaissent pas ouvertement la Bible comme source d'autorité pour tous les problèmes de la vie, et permettent à leurs adhérents de choisir leur propre Dieu (leur « puissance supérieure »). Par conséquent, ces programmes de réhabilitation minimisent ou nient le besoin (essentiel par rapport à l'éternité) d'une relation personnelle avec Dieu par le Seigneur Jésus-Christ, et ne peuvent pas vous apprendre à obéir à la Parole de Dieu dans chaque domaine de la vie. Lorsque quelqu'un cherche à traiter un problème dans le seul but de son propre intérêt au lieu de le faire pour plaire à Dieu, les ressources de Dieu et la paix et la joie de Dieu qui les accompagnent ne sont pas à sa disposition. (Revoyez les Leçons 1 - 4.)
C. On prescrit des médicaments qui changent les humeurs en vue d'aider la personne à « se sentir mieux » vis-à-vis de son problème (on cherche à soulager la personne de ses symptômes) et en même temps on propose une « relation d'aide professionnelle » pour aider la personne à mieux cerner son problème, et apprendre à vivre de manière « moins stressée » et « plus bénéfique ».
Remarque : Certains dysfonctionnements physiologiques (d'ordre glandulaire ou organique) doivent faire l'objet d'un traitement médical et peuvent nécessiter la prise de médicaments sur ordonnance du médecin traitant. Mais toute directive concernant la manière de penser et de vivre fondée sur la sagesse de l'homme est insuffisante et est à rejeter pour adopter celle de Dieu révélée en Jésus-Christ et dans sa Parole. (Revoyez les Leçons 3 8.)
D. On encourage la personne à se joindre à un « groupe de soutien » non-chrétien, composé de gens ayant connu le même problème, parce qu'ils seraient mieux placés que quiconque pour comprendre la situation que la personne traverse.
Remarque : Les membres d'un « groupe de soutien » non-chrétien connaissent pour la plupart les conséquences de leur mauvais comportement (c'est-à-dire, de leur péché) et peuvent ainsi mettre en garde les autres, mais le « discernement » et « l'aide » offerts viendront des membres du groupe au lieu de venir de Jésus-Christ (voir Hébreux 4.15-16) et de la Parole de Dieu (voir 2 Timothée 3.16-17; Hébreux 4.12). Sans directives bibliques, la « communication » dans de tels groupes comprend souvent l'expression de ses émotions de manière pécheresse, les confrontations colériques, les souvenirs de péchés commis, la médisance, le blasphème et de prétendues « solutions » aux problèmes, en désaccord avec la Bible. De plus, il est souvent très important de concentrer son attention sur soi-même pour « faire du progrès » en tant que membre d'un groupe de soutien laïc. (Revoyez les Leçons 4 13.)
E. On enseigne à la personne comment s'aimer et être elle-même son propre meilleur ami (c'est-à-dire, comment développer une bonne « image de soi »). En agissant ainsi, on pense l'aider à affronter son problème de la manière la plus bénéfique. (Revoyez la Leçon 4 et les Leçons 9 10.)
F. On aide la personne à trouver d'autres moyens d'exprimer ses émotions vis-à-vis de son problème (trouver une soupape). Une telle « thérapie » se met souvent en place par une « relation d'aide professionnelle » et /ou par des techniques de « punition et récompense ».
Remarque : Une telle « thérapie » peut réorienter le comportement, du moins temporairement, vers ce qui sera moins néfaste pour la personne ou son entourage ; mais elle néglige de traiter le problème fondamental de l'absence d'un engagement total envers Dieu en Jésus-Christ. Sans une relation personnelle avec le Seigneur, il est impossible d'obéir à l'Ecriture ; de plus, la réorientation ou la nouvelle expression du problème sont souvent empreintes de péché elles-mêmes. Cette approche d'une solution au problème néglige de prendre en mains le défi encore plus grand de mourir à soi-même afin de plaire au Seigneur en toutes choses, et d'édifier les autres par le service et les expressions de l'amour biblique. (Revoyez les Leçons 4 10.)
G. On enseigne à la personne que même si sa « maladie » ou sa « prédisposition génétique » ne changera jamais, elle peut mettre un terme à certaines activités qui y sont liées.
Remarque : Cet accent sur la responsabilité personnelle est en fait une optique biblique, bien que son lien avec l'Ecriture soit généralement inconnu ou délibérément nié. La notion de devoir rendre compte aux autres est souvent associée à cette méthode de traiter les problèmes. C'est également une notion fondée sur les principes bibliques, mais souvent on néglige ou nie que le fondement en soit la Parole de Dieu. Cette approche souligne souvent que l'on n'a pas assez de force naturelle pour être responsable ou pour rendre compte (encore une perspective biblique qui n'est pas reconnue) mais la « force requise » proviendrait du soutien des autres et d'une « source divine » à définition variable. Aussi louable qu'il soit de mettre un terme à des activités pécheresses, l'intérêt fondamental de cette approche est tourné vers l'homme et non vers Dieu. Le changement complet et surnaturel que seule la puissance de Jésus-Christ peut accomplir (voir 2 Corinthiens 5.17) ne peut être saisi ou atteint par une telle approche. Sans la nouvelle naissance, la personne ne sera pas investie de la force du Saint-Esprit pour changer et ne pourra pas comprendre la Parole de Dieu. (Revoyez les Leçons 3 8.)
H. On doit apprendre à « se détacher » du problème qui domine la vie d'un autre (c'est-à-dire, on doit apprendre à ne plus être un « co-dépendant »).
Remarque : les programmes qui s'adressent aux « co-dépendants » ont raison de souligner l'erreur qui consiste à s'adapter au comportement « maladif » (c'est-à-dire, pécheur) de quelqu'un qui est esclave d'un problème dominateur. Mais le « co-dépendant » est aussi défini comme étant « malade » parce qu'il persévère dans sa relation avec la personne esclave du problème dominateur. Généralement ces programmes soulignent le besoin de concentrer ses efforts sur sa propre vie, de ne plus couvrir ou participer au comportement « maladif » de l'autre. Tandis que l'idée générale peut ressembler aux principes bibliques, l'idée de concentrer son intérêt sur sa propre vie et de refuser d'excuser ou de s'adapter au péché d'un autre se fonde sur la sagesse de l'homme et contredit l'Ecriture. Par exemple, au coeur de la plupart des programmes laïcs qui s'adressent aux « co-dépendants » est l'insistance sur « soi-même » (c'est-à-dire, « tu feras cela pour toi-même, pas pour les autres »). Disons à leur honneur que les programmes laïcs pour les « co-dépendants » développent le « soutien » entre membres et ne permettent pas de rejeter la responsablité sur autrui. Mais apprendre à vivre pour Dieu et à édifier les autres selon la Bible ne fait pas partie de ces programmes (voir 1 Corinthiens 2.14). De nombreuses violations de l'Ecriture sont souvent tolérées, voire encouragées (par exemple, les accès de colère, le souvenir de péchés commis, la médisance, l'encouragement à dissoudre les liens du mariage, l'expression de l'amertume, l'absence de pardon biblique, ou le refus de pratiquer l'amour biblique). (Revoyez toutes les leçons.)
V. Quelques conséquences encourues en restant esclave du péché
A. Dieu ne vous promet pas d'écouter vos prières ou de les exaucer (d'après Psaume 66.18; Proverbes 15.29; 28.9; Esaïe 59.1-2; 1 Pierre 3.12).
B. Vous aurez à en supporter des conséquences d'ordre spirituel et d'ordre physique (d'après Psaume 32.3-5; 38.2-11; 51.5; 1 Corinthiens 5.3-5; 11.28-30; Colossiens 3.25; Hébreux 12.5-11).
C. Vous perdrez la joie de votre salut (d'après Psaume 51.10-14; 1 Jean 1.4) et pourrez mettre en doute si oui ou non vous jouissez d'une relation de régénération avec le Seigneur (c'est-à-dire, si vous êtes un vrai croyant) (d'après 1 Corinthiens 6.9-10; 1 Jean 2.4; 3.4-10).
D. Vous deviendrez de plus en plus misérable, et la vie deviendra plus difficile (d'après Proverbes 1.24-32; 13.15, 21a; 28.13-14), puisque vous donnez à Satan l'avantage sur votre vie (d'après 2 Corinthiens 2.10-11; 10.5; Ephésiens 4.26-27, en particulier le verset 27; 2 Pierre 2.19b-22; 1 Jean 3.4-9).
E. Vous vous placerez sous la discipline et la correction du Seigneur (Hébreux 12.5-11), et la discipline nécessaire pour vous réconcilier avec le Seigneur et avec les autres augmentera en sévérité (d'après Proverbes 15.10; Matthieu 18.15-20).
F. Vos propres actes vous empêcheront de jouir de toute vraie communion avec les membres du Corps de Jésus-Christ (d'après 1 Corinthiens 5.9-11; 2 Thessaloniciens 3.11-15).
G. Vous continuerez à vous tromper spirituellement puisque vous n'êtes qu'un auditeur de la Parole de Dieu et que vous ne la mettez pas en pratique (d'après Jacques 1.22-24), et vous ne pourrez pas discerner clairement le bien du mal (d'après Hébreux 5.14).
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